La vie sur Terre est une forme complexe d’organisation de la matière et de l’énergie qui composent notre Univers. Prodige de complexité et d’organisation, le fœtus contient en lui des milliards d’années d’évolution, de transformation de la matière vivante en relation avec l’évolution de notre planète. Toutes les formes de vie sur Terre sont des descendants d’une molécule (ADN) apparue il y a environ 3,5 milliards d’années. Le code génétique est universel, mais l’ordre dans lequel sont agencées les lettres constitue la signature du génome d’une espèce.
Pour un Maroc prospère
Le pouvoir au Maroc est bicéphale où règne l’institution monarchique et le gouvernement. Le néolibéralisme façonne un nouveau modèle de développement économique, en construisant une souveraineté économique intimement liée à la globalisation, via des partenariats entre public et privé, en faisant de l’entrepreneur-investisseur, un acteur central aux côtés de l’Etat. Le groupe OCP, incarne cette stratégie, fondé en 1920, fleuron de l’industrie nationale, développe des partenariats pour la production d’engrais en Afrique subsaharienne, il contribue à la sécurité alimentaire tout en renforçant la position du Maroc comme acteur économique important.
Le courage
Pour un athée, le courage face à la mort est le courage des courages. Le courage n’est pas l’absence de peur : c’est la capacité de l’affronter, de la maitriser, de la surmonter. Le courage a affaire au présent, et relève de la volonté, toujours, beaucoup plus que de l’espérance. Or, que faut-il pour être courageux ? Il suffit de le vouloir, autrement dit de l’être en effet.
La tempérance
Spinoza a dit que la tempérance est une régulation volontaire de la pulsion de vie, une saine affirmation de notre puissance d’exister, et spécialement de la puissance de notre âme sur les impulsions irraisonnées de nos affects ou de nos appétits. La tempérance n’est pas un sentiment : c’est une puissance, c’est-à-dire une vertu. Ainsi, la tempérance est cette modération par quoi nous restons maîtres de nos plaisirs, au lieu d’en être esclaves.
La prudence
La prudence est cette paradoxale mémoire du futur, ou cette paradoxale et nécessaire fidélité à l’avenir. Morale sans prudence, c’est moral vaine ou dangereuse. « Caute » disait Spinoza : « Méfie-toi. » C’est la maxime de la prudence, et il faut se méfier aussi de la morale quand elle néglige ses limites ou ses incertitudes. De facto, la prudence conditionne toutes les autres vertus.
La fidélité
La fidélité est la quintessence des valeurs et des vertus. La fidélité à la pensée car on ne pense pas n’importe quoi, puisque penser n’importe quoi ce ne serait plus penser. La fidélité à la morale, la loi morale étant atemporelle, il s’agit d’obéir. La fidélité est soumise à la loi morale, non la loi morale à la fidélité. La fidélité dans le couple, repose sur l’amour et la durée. Il suppose donc la fidélité, puisque l’amour ne dure pas qu’à la condition de prolonger la passion par mémoire et volonté.
